Nekomahotsukai

Découverte de la seconde chance

La mort est un état second, une sorte de transe d'où certain s'extirpe en silence. Une mort après la vie ça c'est sure mais une vie après la mort j'en doute. Si cela existe je veux le voir de mes propres yeux, observer le monde des mes propres cieux. Découvrir la terre sous de nouveaux horizons, sous lequel je verrais l'enfer, la haine et la défaite, défaire le paradis, l'amour et la victoire. Apprendre plus sur ce monde pour mieux le comprendre, appréhender ces ombres pour mieux l'apprendre. Découvrir les abymes, se noyer dans vague de remord, toucher le fond… Pour mieux se relever ! Visiter les cieux, découvrir l'impossible rêves, de l'être parfait, et redescendre encore, pour mieux l'atteindre, pour corriger ses erreurs. Et enfin se réveiller, sur un lit d'hôpital, se rendre compte que tout ça n'était qu'un rêves… Mais c'est ce que j'aimerais croire, car la plume d'une blancheur éclatante que je tiens en main me fait douter, j'ai vus le monde, j'ai vus la vie, j'ai vus la mort…  C'est ces trois qui m'ont offert cette seconde chance en je ne compte pas la laisser passer !

Dans le Palais Impériale tout le personnel s'activait aux préparatifs de la Grande Réunion. Dans les longs couloirs résonnaient les pas pressés des nombreux serviteurs que comptait le château. Les esclaves des cuisines évidaient des dizaines de hareng et de volailles en prévision du banquet, les servantes activaient les préparations des chambres des invités d'honneur, lustraient les lustres de la salle du grand banquet, nettoyaient les sols des couloirs Royaux...

. Mais loin de toute cette agitation, dans ses appartements personnels, la princesse Adara désespérait de pouvoir enfin en finir avec ces interminables essayages. Cela faisait plus d'une trentaine de fois que sa robe après trois heures d'immobilité forcée était renvoyée entre les mains des couturières pour des retouches mineures qui, pour elle, n'avaient aucune importance. D'après sa mère l'Empereur serait très heureux de la voir porter le présent qu'il lui avait offert pour son vingtième anniversaire. Mais pour elle, cette robe était semblable aux six cents vingt-trois autres qui étaient rangées dans le dressing immense qui jouxtait sa chambre à coucher.



-Mère ne pourrions nous pas écourter les essayages ? Cette robe me va déjà à ravir et je ne pense pas que l'Empereur serait heureux de savoir que vous l'avait fait retoucher.



-L'Empereur se moque de savoir si cette robe à été modifiée ou non, il attend seulement que les princes et princesse de l'empire se présente à se diner dans leurs plus beau vêtements. Et vous serez la plus remarquable de toutes, je ne veux pas que la digne héritière du trône du Royaume de Prizia, fille du premier conseillé militaire de l'Empereur, soit mise au second plans de cette événement. Tania, allez donc voir ou en sont les couturières ! Allez, pressez vous un peu !

La pauvre servante qui était en train de préparer le bain de la princesse sursauta et s'ébouillanta la main en rattrapant la cruche d'eau qui lui avait glissé des mains. Elle se retint de pousser un cri de douleur, qui à coup sûre lui vaudrait en retour le fouet.

- Oui… Oui ma dame !

En partant vers la porte de bois sombre elle attrapa au passage un linge qu'elle entourerait plus tard autour de sa main meurtrie. Quand elle ferma la porte, la reine qui l'avait suivit du regard pendant toute la durée de la scène, se retourna vers sa fille. Cette dernière était passée derrière le paravent aux riches motifs fleuris cousu au fil d'or et d'argent qui cachait sa nudité.



-Quelle empotée ! Je me demande pourquoi vous gardez cette servante depuis si longtemps alors qu'elle n'arrive même pas à la cheville des servantes que vous à proposé notre cher Empereur à notre arrivés au château. J'espère que nous n'auront pas à aborder de nouveau ce sujet plus que fâcheux et que vous serez tenir compte de tes leçon de bonne conduite lors du festin donné en l'honneur de notre Souverain. Je vous laisse vous rhabiller, je compte sur vous pour être présente ce soir à la salle du trône pour la cérémonie d'adoubement de votre cousin Zelias.

La princesse laissa apparaitre son visage angélique de derrière le paravent. Les longues mèches blondes de son épaisse chevelure descendaient telle une cascade d'or sur les traits fins et épuré de son visage.



-Oui mère.

La reine quitta les appartements de sa fille dans un vacarme que causaient ses talons sur les pierres glacées qui recouvraient les couloirs du château. Elle ne fit même pas attention au domestique infortuné qu'elle avait renversé en ouvrant la porte des quartiers princiers. Le pauvre homme se retrouva étendu sur le sol, sonné et désespéré à l'idée de devoir relaver lui-même les draps de satin qui venaient de tomber sur le sol poussiéreux du couloir.

Quelques minutes plus tard Tania revint devant les quartiers de sa maitresse. Elle frappa les trois coups réglementaires et attendit qu'on lui ordonne de rentrer.

-Entrez !

Elle poussa la lourde porte et avança dans la pièce en gardant les yeux fixé sur le sol pour ne pas croiser le regard de la reine. Elle posa sur le lit les habits de la princesse et tout en gardant le regard baissé commença à rendre compte de son enquête à la princesse.

-Ma dame, j'ai fait quérir le tailleur et les couturières, votre robe ne sera pas prête avant cette après midi, et le prochaine essayage auras surement lieux après les litanies tertiaires.



Tania entendit, derrière le paravent, la voie de la princesse Adara l'apostropher.



-C'est bon Tania tu peux te détendre, ma mère a quitté les lieux depuis une dizaine de minutes environs. J'ai bien sûre eu le droit au remarque sur mes devoirs et sur la raison de ta présence auprès de moi pour me servir. Elle n'a heureusement toujours pas compris que tu es plus qu'une servante à mes yeux ! Depuis que mon père à mon sixième anniversaire t'a mis à mon service comme jouet à tout faire je n'ai cessé de t'admirer, même en étant asservit tu restais fier et tu ne laissais jamais perler une larme sur ta peau pourtant souvent rougie par les châtiments que t'infligeait ma nourrisse. C'est toi qui après chaque refus de mes parents de sortir du château pour m'amuser avec les enfants de mon âge étais là pour me réconforter. J'ai ensuite tout fait pour te garder près de moi malgré les contestations de ma mère. Tu es comme une sœur pour moi, et je pense et j'espère que jamais je n'oserais porter la main car tu es au-delà de ce que sont les autres servantes à mes yeux.



-Merci Adara ! Tu ne sais pas à quel point il est agréable de t'avoir comme maitresse.



-Peux-tu m'aider à mettre ce corset s'il te plait ? Je déteste devoir porter ses vêtements, je me demande même comment j'arrive encore à respirer avec une telle pression sur les poumons.



Tania passa derrière le paravent, depuis son plus jeune âge elle était habituée à aider la princesse à s'habiller. Elle était l'une des seul personne qui avec la nourrisse d'Adara avait put voir la princesse dans son plus simple appareil. Cela faisait de longues années que Tania admirais les courbes parfaite qu'arborait Adara. Ses seins sublimes, qui n'avaient souvent pas assez de place dans les généreux décolletées qu'elle aimait à porter, rivalisait avec ses fesses au formes exemplaires. Sa peau claire et mate était comparable à la porcelaine, ses lèvres pulpeuses faisaient sombrer tous les hommes dans un désarroi sans pareil.

Elle lassa le corset avec force et fit passer à la princesse la robe blanche et bleu lazuli qu'elle venait de rapporter. Avec un grand sourire elle mit en place les dentelles de la robes, réajusta le décolleté et brossa les cheveux d'Adara avec douceur. Elle prit ensuite soin de la coiffer et de prévoir la place pour un diadème.



-Ne bouge pas je vais chercher les bijoux qui seront les plus seyants avec cette robe !



Elle entra dans le dressing, ouvrit un tiroir sur sa droite et en sortit un magnifique collier de saphir surmonté d'un diamant éclatant. Elle prit aussi un diadème de perle et une broche en argent décoré d'une pierre de Lapis Lazuli en forme de croissant de Lune.

Elle alla retrouver la princesse derrière la paravent et mis en place les précieux joyaux.



-J'ai croisé votre père le Roi dans les couloirs ce matin et il m'a annoncé que vous êtes invité à rejoindre sa table pour le déjeuné.



-Ce n'est pas la peine d'aller rapporter ma réponse, j'y serrais, je ne veux pas manquer les dernière nouvelles des répressions prévus envers les peuples des îles du sud, les rebelles attendent mes informations avec impatience. J'ai toute confiance en toi, je te confierais le message après le repas et tu le porteras à mon contact comme d'habitude. Je te laisse finir de ranger mes vêtements et de refaire mon lit.



Après lui avoir adressé un grand sourire elle ajouta :



-Je t'attendrais après le déjeuner dans la bibliothèque afin de continuer ton apprentissage !

Quand Adara eu quitté la pièce, Tania repensa à tout les années qu'elle avait passée en compagnie de la princesse. Il y a une vingtaine de cycle, un mystérieux inconnu l'avait déposée encore nourrisson aux portes du château d'Alva. Elle avait été recueilli par une servante, depuis sa plus tendre enfance elle l'avait surnommée Jeni, car le nom de Jenifallacinthé était bien trop long à prononcer pour une enfant de cet âge. Mais malheureusement, lors d'un hiver particulièrement froid, elle avait succombé à une violente fièvre. Tania avait ensuite été capturée comme esclave, mais le roi l'avait rachetée au marchand et offerte à sa fille comme humain de compagnie. Mais très vite un lien d'amitié fort c'était lié entre les deux enfants qui à quelques mois près devaient avoir le même âge. Il y avait une dizaine d'années environs la princesse et elles avaient fait lors d'une nuit de pleine lune, le serment des sœurs. Ce serment devait les liées à jamais et faire d'elle des âmes jumelles. Elles avaient pris place devant la grande porte fenêtre qui donnait sur le balcon de la chambre d'Adara. La pièce, sous les rayons de la pleine lune, semblait être parée d'une aura fantomatique. Elles étaient toutes deux couvertes des peintures rituelles qui devaient accompagner le serment, une ligne ocre passait le long de leur front, un trait bleue nuit descendait comme une larme sous chacun de leurs yeux, et enfin pour finie sur la paume de leur main était dessiné un croissant de lune, noir pour Tania, et blanc pour Adara. Elles s'étaient vêtues comme le voulais le rituel d'une simple robe de chambre blanche sans aucune inscription. Tania avait été la première à prendre la dague en argent pour faire couler son sang de sa main gauche dans la coupelle d'onyx qui contenait la poudre d'améthyste. Après avoir serré fort la dague entre ses doigts et entaillé sa paume avec courage, elle sentit une ligne de feu se dessiner à l'intérieure de sa main. Adara l'avais imitée après une hésitation palpable, la douleur qui les envahir toute deux fut très vite atténuée par les odeurs des poudre d'encens qui se consumaient tout autour du cercle protecteur de bougie noires. Elles rassemblèrent ensuite leurs deux mains ensanglanté pour que leurs liquides vermeille se mélange ; de l'autre main elles saisirent chacune leur tour la coupelle et avalèrent la moitié du contenu. Le liquide encore tiède coula dans leur gorge, la poudre d'améthyste brulant leurs gorges à chaque gorgées. Après cette première partie du rituel elles récitèrent la formule d'une seule et même voie :

" Mère, déesse de la lune, entend nos prières

Accepte le sang de notre union

Par les forces de ces pierres

Que ton pouvoir nous envahisse et nous guide vers la communion.

Fait de nous tes compagnes,

Que pour toujours et contre tous nous restons alliés

Que par delà les Montagnes

Nous restions connectés.

Ô mère déesse de l'astre lunaire

Accompli nos prières. "

Elles versèrent ensemble les dernière goutte de sang de la coupelle dans le feu de la cheminé de la chambre d'Adara. Ce dernier devint un véritable brasier et pris des couleurs bleues et noires au contact du mélange rituel. Une étrange forme se dessina dans les flammes, elle sortit de la cheminé et vint marquer l'omoplate des deux enfants d'une marque rougeoyante en forme de croissant de lune. La brulure les fit toutes deux sombrer dans les ténèbres. Elles ne se réveillèrent qu'au matin avec non pas la douleur qu'elles attendaient ressentir à cause de leurs brulure mais avec une étrange sensation de bien être. Elle avait gardé leur union secrète car l'Empereur avait depuis très longtemps condamné les actes de sorcellerie. Tania avait trouvé cette formule parmi les centaines d'autre que regroupait le grimoire qu'elle avait un jours trouvé dans le compartiment secret de la bibliothèque du château d'Alva. Personne n'avait remarqué au cours des années qui suivirent que la princesse et sa servante avait pour l'une sur l'omoplate droite et pour l'autre sur l'omoplate gauche un croissant de lune parfaitement identique même si symétriquement opposés.

En rangeant les robes de la princesse, Tania se surprit à en essayer plusieurs, même si la majorité était trop grande elle se ravissait de se voir aussi belle dans le grand miroir au cadre d'or qui ornait le dressing. Elle essaya des parures de rubis et d'opales, des bracelets de jade et d'hyacinthe, des bagues aux reflets dorées… Une robe bien précise attira son attention, elle était en satin noir et arborais des broderies richement dorées. Elle l'enfila et se contempla de nouveau, un grand voile noir retombait sur ses cheveux tout aussi noirs coupés au niveau des épaules. Elle écarta la perpétuel mèche de cheveux qui cachait son œil droit Son visage couleur de neige était extraordinairement mis en valeur par les boucle d'oreille et la parure de diamant noir qui accompagnait la robe. Elle fut surprise par la couleur que donnait les reflets des pierres à ses yeux, d'habitude d'un violet sombre ils étaient maintenant d'un violet vif et chatoyant. Ses lèvres que la mère de la princesse autorisait être souligné d'une couche maquillage noir Elle s'observa de longue heure dans ces vêtements qui la faisait rêver aux grands bals, au prince qui viendrait trouver compagne lors de la Grande Réunion. Si bien que quand arriva l'heure de rejoindre Adara à la bibliothèque elle venait a peine de finir de ranger le désordre qu'elle avait elle-même créé.

Elle marcha pendant de longues minutes dans les longs couloirs linéaires du palais avant d'arriver devant la grande porte de la bibliothèque impériale. Sans faire aucun bruit elle poussa la lourde porte de bois et passa la tête dans l'entrebâillement ainsi créé, Adara était au milieu d'une pille de livre, sublime et rayonnante dans la lumière qui filtrait à travers les vitraux immaculé.

-Entre, je t'attendais, as-tu pris avec toi ta plume ?

Tania avait réussi à suivre les cours de la princesse jusqu'à ce que la mère de cette dernière trouve inutile qu'elle serve sa fille. Si bien que Tania fut très vite la seule servante à savoir lire, écrire, compter et parler comme le fit une princesse. Mais en accord avec Adara elle cacha son savoir à tous pour ne pas s'attirer les foudres de la reine. Depuis le jour où elle avait arrêtée d'assister aux cours, la princesse l'avais prise sous son aile pour lui enseigner tout se qu'elle avait besoin de savoir. Elle allait aujourd'hui commencer à lui enseigner la géographie de l'empire.

-Nous allons commencer par les différents royaumes et leurs positions sur la carte que voici. L'empire est constitué de cinq grand royaume. A l'est le royaume de Zeon, au sud on retrouve le royaume d'Alva, à l'ouest le royaume de Rolven, au nord le royaume de Prizia et enfin pour finir au centre de l'empire se trouve le royaume Impérial.

Notre royaume de naissance, Alva, se situe au sud de l'empire, est recouvert,pour son tiers, de foret de feuillus. Il s'étend des montagnes Veari à l'ouest jusqu'à la limite naturel du fleuve Zoiexu à l'est. Le royaume d'Alva est connus pour son cristal, qui est convenus comme le plus pur de tous, pour son bois qui sert de base aux meilleurs ébénistes des royaumes voisins, et pour terminer, pour son alcool de fleur noir. Il est frontalier avec le royaume de Rolven à l'ouest, le royaume Impérial au nord et de royaume de Zeon à l'est. Au sud l'océan Liaopeus en fait un des principaux fournisseurs de poissons de l'empire.

Passons ensuite au royaume de Rolven, il se situe à l'ouest de l'empire, ses principales frontières sont dessinées par les montagnes Veari à l'ouest et par l'océan Tremaï à l'est. Ce royaume produit la majorité des armes de la force armée impérial et des pierres précieuses extraites de la montagne Veari utilisées par les bijoutiers de tout les royaumes.

Nous allons maintenant parler du royaume de Zeon. Ils se situe à l'est de l'Empire et est le plus grand royaume commerciale de l'empire. Ezody, la capitale du royaume est le plus grand port marchand de l'empire. Ses frontières sont délimitées à l'est par le fleuve Zoiexu, à l'ouest et au sud par l'océan Liaopeus et au nord par la vallée Zihai et ses chevaux sauvages.

Avant de parler du royaume Impérial nous allons aborder celui de Prizia, ce royaume situé au nord est le plus petit de l'empire. Il est l'un des principaux producteurs de pierres de construction de l'empire, il compte aussi une importante plantation de vigne à l'est et riz à l'ouest. Il est délimité par la forêt d'Aoreu à l'ouest, par l'océan Liaopeus à l'est et par les montagnes Liarty au nord. Il est isolée des contrées désolées par la passe de Maïtar.

Pour finir nous allons aborder le royaume impérial, Il est au centre de l'empire et compte une frontière avec chaque royaumes. Ses frontières sont délimitées par la foret d'Aoreus à l'ouest, le fleuve Zoiexu créer la frontière est. Une ligne partant de la foret de Tualis et rejoignant les montagnes de Veari est convenue comme étant la frontière sud du royaume.

Elle continuèrent à travailler ensemble jusqu'à ce que sonnent les cloches des dévotions tertiaires. Après être passées par les appartements de la princesse pour y ranger les ouvrages sur les quels elles travaillaient. Prenant avec elles leur recueil de prière elles prirent la direction de la grande chapelle du château.

Elle prirent place sur les bancs de prière et récitèrent les psaumes sans penser un mot de ce qu'elles prononçaient:

" Ô Empereur, dieu!

Nous te remercions d'avoir unifié les royaume,

Grâce à toi les guerres n'existe plus,

Grâce à toi tout les sujets mange à leurs faim

Grâce à toi nous connaissant enfin le visage du divin

Que ta grâce touche les plus démunie

Que ta bonté accompagne les âmes damnées vers le repos éternel

Bénis nos vies éphémères, guide nous vers le salut et la rédemption

Vaectra "

Après avoir répété cette prière trois fois de suite, elle purent enfin quitter la chapelle. La princesse alla se présenter au déjeuné dans la grande salle que la roi avait relié aux appartements de son père en cadeau lors de sa nomination en tant que Premier conseillé militaire de L'empereur. Arrivé devant la grande porte elle fut instantanément reconnus par les garde qui poussèrent avec empressement les lourd battants de chênes, les gonds grincèrent et elle aperçut la grande table qui servait aussi lors des réunions militaires et stratégiques. Tout au tours siégeaient les plus éminents stratèges et généraux de l'armée impérial, au bout de cette dernière se trouvait son père, grand, les épaules larges, le corps sculpté après la guerre et couvert de ces marques. Son visage marqué par l'expérience que seul les années peuvent offrir, des rides rare mais profonde l'entaillaient, son menton carré et ses yeux vert donnaient à son visage un air profond qui inspirait le respect.

- Adara , je t'attendais ma fille, il faut que je te discute de quelques choses d'importance qui te concernant.









Après avoir fini de rédiger son message codé, la princesse le confia à Tania qui se prépara à l'acheminer à son destinataire. Adara pour sa part attendis patiemment dans sa chambre que le tailleur daigne enfin lui rapporter la robe quel espérait ne plus jamais à faire repriser.





Après avoir pris une bourse contenant quelques pièces de bronzes et d'argent Tania prit la direction du village. Dans la cours du château, des dizaines de charrettes déchargeaient les vivres demandés pour le grand banquet. Les pièces d'or et d'argent s'échangeaient par centaines. Elle arriva après quelque minutes de marche dans le recoin le plus malfamé de la capital de l'empire,. Partout dans les rues des individus aux activités plutôt douteuses tournaien)à/ le regard vers cette jeune femme au cheveux de nuit et au regard envoutant. Plusieurs mendiant accostèrent Tania pour faire l'aumône d'une pièce de cuivre ou d'un morceau de pain rassie. A sa droite un groupe de saltimbanque commençait leurs numéros. Un homme grand et fins tenait deux perche en ses mains, il en alluma les extrémité et commença à les faire tournoyer dans les airs à toute vitesse, créant ainsi, tout autour de lui, des cercles rougeoyants. Une femme se mit à jouer de la flute et son compagnon soutins le rythme de la mélodie en frappant sur son tambourins. Pour compléter le numéraux un homme au épaules large et à la barbe grisonnante jonglait avec des couteau tout en essayant de tenir en équilibre sur un cylindre de bois. Tania, qui avait toujours aimé le coté poétique des spectacle de saltimbanque, préleva trois pièce de bronze et les posa dans le chapeau usé de la musicienne. Pendant qu'elle regardai le spectacle des voix forte avait attiré son attention, elle s'était retourné et avait remarquée derrière elle un groupe de quatre hommes, leurs vêtements laissaient deviner leurs castes et leur regards reflétaient une haine féroce envers les impériaux qui surveillait la rue. L'un avait, sur la joue droite une cicatrice rosé qui faisait contraste avec sa peau halée, il était grand et portait comme ses trois compère une long veste sombre et usagé par les ans. Un autre membres du groupe attira son regard, il n'avait rien d'extra ordinaire si ce n'est la couleur de ces yeux et leurs formes, ils paraissaient brillé d'une lueur dorée sous la capuche qui assombrissait son visage. Les autre étant plus banale elle ne s'attarda pas sur le groupe et continua de regarder le spectacle. Elle décida de partir quand le numéros toucha à sa fin et pris la route du port. Au bout d'une vingtaine de mètres elle vis que les 4 homme la suivaient. Ses craintes disparurent quand le groupe se sépara et que deux d'entre eux prirent la Rue des Etales. Elle continua donc son chemin et arrivé à la hauteur de Temple elle décida de coupé à travers les ruelles pour gagner du temps. Quelques dizaines de mètres plus loin elle vis réapparaitre face à elle l'homme à la cicatrice il sortit deux longues dagues de sa vestes et un sourire sadique se dessina sur ses lèvres...

Voici les premières pages de l'histoire que je suis en train d'écrire, c'est un projet assez long car le scénario que mon esprit tordu à créé est un peu compliqué ^^.C'est une première version qui sera surement modifiée plus tard pour souci de correspondance ou juste par souci esthétique. Au fait ^^' j'ai fait une première correction orthographique mais ci quelques fautes vous choquent (il y en a j'en suis sur) n hésitait pas à le notifier. J'attends vos remarques et vos conseils avec impatience. Bienvenue dans le monde d Alteria !

Prologue



            La lune brillait haut dans le ciel, des étranges reflets rubis pareil à des vapeurs coloraient son halo céleste. Au sommet d'une colline un immense chêne, majestueux, étendait ses rameaux vers la voûte étoilée. Sur une de ses branches se tenait un animal étrange, de grandes oreilles pointues surmontaient son crâne qui, comme le reste de son corps, était recouvert d'un pelage doré. Il arborait un museau semblable au renard des plaines mais était, en proportion à celui ci, bien plus petit. Les oreilles dressées, il discerna un bruissement à sa gauche. En silence il avança jusqu'à apercevoir son futur dîner. D'un bond il sauta sur la branche voisine et attrapa au vol le pauvre passereau lunaire qui avait eu le malheur de croiser son chemin. Son estomac criait famine depuis ce  de longues journées et ce petit en-cas avait fort bon goût. Même si les plumes étaient plutôt gênantes cela n'empêcha pas le sang chaud au goût métallique de couler avec délice le long de sa langue. Il se délecta de la chaire tendre et fondante du volatile puis avala goulûment son frugal repas. Il avait marché sans relâche depuis six lunes, et il était arrivé au chêne mémorial à temps pour les contempler. Il attendit de longues heures dans la fraîcheur de cette nuit unique. Le paysage prenait des teintes noires et argent sous les rayons de la lune. Une brise légère faisait danser les feuilles à un rythme calme et enivrant. Le bruissement du feuillage et le son clair de la rivière que l'on pouvait apercevoir en contrebas offrait une mélodie qui lui rappelait l'Age d'Or. Les banquets d'automne, les envolés lyriques des poètes qui, aux sons des flûtes de pans, faisaient revivre à leur assemblés les légendes d'antan. Cette époque où les lancés de Menhir départageait les géants sur leurs différents, où les saveurs des cochons rôties de Vaa-läh ne trouvait leurs égales que dans les vins aux saveurs d'ambroisie.  Une lueur au dessus de lui le fit sortir de ses songes. Et il les vit enfin, les étoiles perdus, elles chutaient sur la terre en laissant derrière elles des lignes éphémère de lumière  sacrée. Le ciel s'embellissait de longues traînées blanches. Cette voûte sombre reflétait l'image d'une vie nouvelle. Une ère de changements profonds allait naître des particules infimes qui provenaient de ces astres nocturnes. Ils allaient se réveiller. Il pourrait enfin jouer son rôle et faire avancer la révolution qui annonçait le retour du Draco. Mais il devrait encore attendre un peu avant qu'ils ne se révèlent être près à accomplir leurs destiné.

Bonjour tout le monde, je me présente, Jérémy, alias Nekomahotsukai^^ Je passe mes journée entre les cours ( classe de 1ère L cette année), le dessin,la lecture et l'écriture de mon propre roman. heu ...? Que dire de plus ? J'ai 16 ans, grand brun et plutôt carré, je pratique avec plusieurs amis le duel ( à la perche, au baton,épée courte ou longue, double lance...).

Je ne suis pas souvent connecté par manque de temps , mais j'essaierai de poster régulièrement ^^.
Que la déesse Bastet vous soit généreuse et au plaisir de vous revoir.

Nekomahotsukai

An English Version now :

Hello everyone, I 'm Jeremy, aka Nekomahotsukai ^ ^ I spend my days between classes (first class L this year), drawing, reading and writing my own novel. uh ...? Need I say more? I am 16, tall, dark and rather square, with several friends I practice the duel (in the pole vault at the stick, short or long sword, double launches ...).

I'm not often connected because a lack of time, but I'll try to post regularly ^ ^.
The goddess Bastet generous to you and hope to see you again.

Nekomahatsukai